« Et ce jour, la jeune fille compris qu'il fut nul besoin de porter des talons pour faire tomber un homme à ses genoux»

samedi, novembre 17, 2007

Je fais le malheur de quelques uns, certains s'occupent déjà du mien.





C'est la course à qui se connaît le mieux

C'est la course à qui sera le plus heureux,

C'est la course à « connait-tu vraiment celui ou celle qui est en face de toi ? »



Dans cette course au bonheur infini on évite les trepas

et dans ma course je t'effleure de mon bras.

On croit trouver le bout du tunnel

sous mes pieds une trappe caché

Et je me perd dans les bras du cruel

et dans ma course je te croise du regard.

On évite les pieges quitte à piéger les autres

C'est la course à qui sera le plus beau et il n'y a pas de rêgle

Dans ma course tu as gagné depuis longtemps

On fini par construire nous même les pieges, les trappes

à tout moment on se risque

Je veux juste trébucher sur toi mon amour, toi qui ne me veut pas.



Mais la vieille sorcière me guette,

je n'y arrive pas,

le brouillard me confond,

merde je suis perdue,

ou es tu



Dans ma course au bonheur je ne cours pas bien vite

alors j'essai les raccourcis peut-être y arriverais-je plus vite

Peut-être tomberais-je sur toi

assez tôt pour que tu me vois

Je fume ton odeur

un souvenir sans couleur

je me dope à ta voix

connard je t'aime

je suis poursuivi par celui à qui je causerais la perte

peut-être que non

Dans cette course combien tomberons,

si tu dois échouer je m'éffondrais avec toi



Je fais le malheur des uns, c'est pas grave on s'occupe déjà du mien.