« Et ce jour, la jeune fille compris qu'il fut nul besoin de porter des talons pour faire tomber un homme à ses genoux»

jeudi, mai 15, 2008

I can't get over it

" Sucker love is heaven sent
You pucker up, our passion's spent
My hearts a tart, your body's rent
My body's broken, yours is spent"
Placebo.



QU'est-ce que tu veux qu'est-ce tu crois
je t'aime plus je ne t'aime pas,
Je t'aime un peu un peu comme ça et encore moins que celui-la.
Je t'aime trop mais pas assez je ne t'aime pas c'est juré promis craché.

Comment te dire ces choses la je ne t'oublie pas et puis comme je te deteste autant que moi autant que tu ne m'oubli pas, et encore pas, s'il te plait ne m'oublie pas.

Je n'aime pas te voir comme ça c'est cette conne qui ta fais ça? Mais comment ça tu ne sais pas ? Je t'en suppli détache toi tu es à moi.
Et puis comme ça je suis partie, partie un jour à l'infini tu m'a trop vu tu m'a trop fuis et c'est encore moi qui te suis, te suis partout.
Tu dis que je fume trop tu dis aussi que je boit trop, mais je ne fais que m'en aller partir encore un peu plus loin sans que tu ne réalise rien.
Tu dis que je suis une femme trop et pas assez, un peu trop conne , c'est pas gagné! Tu dis que je n'ai pas laissé tomber à vrai dire c'est la vérité.
Je t'oubli et je te hais je te fuis et je te sais, je te rêve à mes genoux mais simplement je te veux dans mes bras pour une fois, rien que pour moi.
Je l'aime lui je l'aime toi, je n'aime pas que celle-la t'aime plus que moi, je te veux toi.
Dans mon lit je rêve de lui de ça de ces doigts de son coeur qui n'existe pas, je recommence avec tout ça , je ne dors pas je suis sans toi, et je n'aime pas ça.
Et tu sais quoi je sais que tu ne m'entend pas mais ce n'est pas grave à force tu finira bien dans mes draps, la nuit se perd dans mes verts dans mon verres et entre mes jambes tu ne dormira pas.

J'en vois des tonnes comme toi des loups, des requins qui crêvent la faim, j'en vois qui bouffe à tout va qui ne s'arrête pas y'en a même qui ne savent pas que la fin approche, j'en vois des comme toi qui ne me voient pas qui ne m'aime pas, qui sont trop grand pour moi, trop fort pour toi, des qui ne ferme pas les yeux, et qui n'y comprennent rien.
Tu ne me comprend pas tu ne m'entend pas, tu ne me vois pas et je radote encore et encore, qu'elle vit monotone quelle vie pourris quelle voix de merde celle la! Un silence et je m'en vais bande de con!

Je dois faire quoi? rien, je le sais déja, mais je ne peux pas m'arrêter comme ça, je voudrais courir derriere toi jusqu'à l'epuisement, jusqu'à me péter les dents, qu'est-ce que tu veux je ne laisse jamais tomber.

Je sais très bien que cette petite te fais jouir mais tu sais que derrière un cris il y a un soupir, Je sais bien que tu lui dis tant de choses, beaucoup qui ne veulent rien dire, mais trop simple à servir. Et sans passion il n'y a qu'un pas avant l'impasse.
Il y en a tant et tant qui m'on fait du pieds sous une petite table de café, moi une clope au bec en pensant à tes mains qu'est-ce que tu veux je n'y peut rien. Qu'est-ce que tu veux que je leur dise à ces brave hommes qui sans raison m'on offert un plaisir un désirs un amour sans remission? Que voulait-tu que je leur dise à part que j'ai besoin d'amour besoins de toi, besoin de vrai besoin de ça besoins de ces choses la besoins de quoi hein dis le moi besoin de rien besoin de tout et puis plus rien, besoin d'ennuie . J'aurais du perdre mes clefs ce jour là mais ce n'était pas le cas, tant pis la prochaine fois promis je dirais Non! Non a tout ça non au bec noir, aux gitans aux bellatre d'en face, non à mon amant, non aux yeux bleux, non a monsieur mignon, non à machin et machin chose, non à celui qui me regarde depuis deux heures, non aux lunnettes noires, non à mes folies, non à mes envies, non au grand brun, au petit blond au cheveux long, non au verre de vodka, non à celui qui ne sait pas et qui sait que trop qui sait qu'il faudrait bientot partir et qui ne peux pas rester, celui qui doit se reveiller tôt, ou qui ne veux pas partir, celui qui veux un dernier verre ou un dernier je ne sais quoi. Mais tu sais que je ne sais pas dire non, il fallait me pardonner mes erreurs.

Je suis une salle petite gosse, quelque erreurs pour quelques heures de tout ...et de rien. Car sans toi je te l'ai déja dis je ne suis rien enfin un peu quand même mais ce n'est pas grave l'important c'est qu'un jour tu me dira merci, c'est ça qu'on dit non? Merci qui merci bibi je t'aime trop et pas assez pas autant pas comme les autres, pas normal pas sencé je ne sais pas comment t'aimer autrement que comme ça et j'en suis désolé il faut me pardonner je suis une sale petite peste qui ne sais pas comment marcher quand elle est trop bourré, je t'aime trop et je ne devrais pas parcequ'au moins si je ne t'aimais pas comme ça je ne raconterais pas toutes ces bétises à tout ces gens qui n'ont que faire de nos ptites vies!