Que je pouvais apercevoir les étoiles de ma fenêtre,
Que toutes les galaxies étaient à portées de main
Que la lune jouait à cache cache derrière les nuages
Que je n'avais qu'a me pencher pour y plonger
Qu'à midit il faisait encore nuit.
Hey couché sous les palmiers ça me rappel trop de souvenir!
le sable chaud, les conversations qui n'ont plus aucun sens vers 3h du mat'
le bruit des vagues tellement régulier, le craquement de branches au fond des bois,
et ah oui! Le moment ou l'on décidait de se baigner mais que oups pas de maillot,
et que finalement tant mieux parcequ'on aurait pas eu la force de se changer,
que d'enlever son jean demande déja un effort surhumain,
et qu'à cette heure on ne sent plus qu'à peine la fraicheur de l'eau salé sur nos peau.
D'un diamant qui pointait à l'horizon.
Un diamant dont je n'ai vu qu'une fois l'envers, mille fois plus beau que le devant,
Et les heures durant à regarder le soleil se lever,
les peaux qui sèches avec une pincé de sel et un gout caramel,
on ne se rendait même pas compte du tableau,
et de la dernière bierre,
à la dernière cigarette,
aux cheveux encore mouillés,
des bouts de phrases qui ne veulent plus rien dire
Et cette odeur de sable chaud mouillé, odeur si particulière, un peu pimenté.
Odeur mélangé à une autre meilleur encore, odeur aromatisé à l'air d'ici.
De choses qui brûlent et qui nous font penser,
humm que c'est bon, et nous ne réalisions pas que nous n'étions plus tellement habillé.
Et puis peut-ètre que si, enfin qui sait!
Il y avait aussi le sable collant sur les mains, mais il n'y avait plus d'heure,
pas besoin de se présser il ne suffisait que d'apprécier,
il n'y avait rien demain, seul le soleil dictait notre destin.
Le meilleur moment ou je m'endormais, le corps allongé sur une petite serviette, cherchant la position parfaite à moitié au soleil l'autre moitié sous l'ombre des cocotiers, et la mélodie des Colibris. C'était parfait.
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